CLS est fier d’annoncer son partenariat avec ETHICS Biotope.
ETHICS Biotope est une initiative unique dans la sphère de l’incubation économique lancée au mois de mars par ETHICS Group basé à Blagnac.
Au sein d’ETHICS Biotope, les Biotopeurs bénéficient d’espaces dans lesquels ils peuvent développer sereinement et durablement leurs projets avec des conditions privilégiées d’hébergement de 6 mois à 3 ans. L’objectif est de les accompagner vers le succès en pariant sur l’intelligence collective et la bienveillance dans une dynamique managériale innovante.
Dans ces espaces, les partenaires contributeurs s’engagent à favoriser l’épanouissement de jeunes entreprises dans un milieu stimulant, à l’image d’un biotope naturel et harmonieux.
Marc Leminh, directeur Stratégie & Innovation :
« L’ETHICS Biotope représente pour CLS l’opportunité de faire grandir des jeunes pousses sur les thématiques du digital et du spatial qui sont extrêmement porteuses dans la région. C’est aussi la chance pour CLS de découvrir de nouveaux talents et de faire entrer à CLS de nouvelles idées. Enfin, l’ensemble des valeurs de l’ETHICS Biotope représentent le même socle sur lequel CLS a fondé sa croissance. »
LES 2 PREMIERS BIOTOPEURS DE L’ETHICS VILLAGE
GISAÏA
Gisaïa est une société fondée en 2014. Initialement dédiée à l’information géographique, la société s’est développée et a spécialisé son offre dans le domaine du Geo-BigData. Désormais implantée à Blagnac au sein d’ETHICS Biotope, GISAÏA crée de nouveaux usages et de nouvelles valeurs par l’exploitation de grand volumes de données spatiales, de l’intégration à la visualisation en passant par le traitement. GISAÏA rend les données accessibles et compréhensibles par tous. Ce savoir-faire a permis de développer la solution ARLAS. Ce géo exploreur élastique rend possible la consultation et l’analyse statistique de gigantesques collections de données spatiales avec une remarquable fluidité et une expérience utilisateur améliorée.
DIGIKARE
Lancée en 2017 par 5 associés, la start-up DIGIKARE dope le système de santé avec des outils numériques aptes à lui ouvrir un modèle d’évaluation des soins basés sur leur valeur plutôt que sur leur volume. Cette ambition s’appuie sur le retour d’expérience de l’un des fondateurs de DIGIKARE, le docteur Jérôme Villeminot, plus jeune membre de l’Académie de chirurgie, très attentif à la récupération rapide de ses patients chez eux. Le moyen : un smartphone et une messagerie électronique. Une première expérimentation menée en 2016 avec une centaine de patients a confirmé que les patients s’engageaient dans leur réhabilitation s’ils étaient accompagnés numériquement.
Liens utiles :