Cette année, la COP21 est un tournant majeur pour le secteur du spatial.
Depuis que la COP a été lancée en 1995, à Berlin, le texte approuvé ce week-end est une première. C’est un processus long où se mêlent de problématiques environnementales, économiques, sociales et diplomatiques dans lequel, cette année, plus de 150 chefs d’états se sont mis d’accords sur des objectifs chiffrés en matière d’émissions de gaz à effet de serre.
Par rapport aux COP précédentes, le signal est clair et il nécessite une implication de tous les secteurs économiques, y compris du spatial. En effet, la raréfaction des ressources, la dégradation des écosystèmes marions, la disparition d’une partie de la biodiversité, la gestion de l’eau nécessite des changements drastiques et les satellites s’imposeront à la fois comme témoins et réponses face au changement climatique qui s’opère.
Le spatial est déjà une réponse. Grâce aux programmes satellites lancés par les grandes agences spatiales dont le CNES, il est possible depuis plus d’une trentaine d’années d’observer les phénomènes climatiques.
CLS répond aux défis liés au changement climatique avec des applications innovantes pour améliorer l’observation opérationnelle et apporter des réponses concrètes.