Dans ce dossier de l’été, CLS vous propose de revenir sur les dates clés de son aventure depuis plus de 30 ans.
1986 – C’est en 1986 que pour la première fois nous avons reçu les données d’une balise océanographique ARGOS.
Cette même année, Jean-Louis Étienne atteint le pôle Nord magnétique équipé pour la première fois d’un des émetteurs développés par CLS. Son aventure a ainsi pu être suivie à la trace.
Les années 80 signent aussi le début du suivi des animaux par satellite. Ours polaires, caribous ou encore albatros pérégrinent sur la banquise, le Grand Nord canadien ou bien au gré des vents circumpolaires équipés de collier ou de « sac à dos » Argos. Toutes les données acquises sont traitées par CLS avant d’être transmises aux scientifiques du monde entier.
1990 – CLS ouvre ses portes aux océanographes pour enrichir les connaissances de notre espace océan. L’océanographie spatiale fait ses débuts à CLS.
1991 – Des pêcheurs asiatiques ravagent le Pacifique avec leurs filets dérivants. Sollicité par l’ONU, CLS les équipe de balise de localisation et suit leurs pérégrinations. Les années 90 sont prolixes au niveau spatial. Elles donnent naissance au système satellitaire DORIS. CLS traite les premières données de ce système satellitaire pour déterminer de façon précise l’orbite des satellites d’océanographie spatiale.
1992 – Il y a aussi eu la première fois ET la dernière… où l’on a diffusé des informations de suivi de bateau sur un Minitel…
Le satellite TOPEX POSEIDON est placé en orbite, il embarque un altimètre, grâce aux chaines de traitement développées par CLS, les océanographes spatiaux de l’entreprise mesurent le niveau moyen de la mer, depuis l’espace, une grande première !
Redécouvrez l’histoire de CLS :
- #2 : Du sauvetage du navigateur français Raphael Dinelli en 1996 à la surveillance des pollutions hydrocarbures en 2005
- #3 : Du suivi de l’évolution des populations marines en 2006 au suivi satellitaire du projet du Grand Paris Express en 2015
- #4 : De la localisation des déchets dans la baie de Rio de Janeiro en 2016 à la levée de fonds de Kinéis en 2020