Projet du Grand Paris Express
Applications & Services 11/10/2021

Le Grand Paris Express, surveillé depuis l’espace, par Tre Altamira, filiale de CLS

Quel rapport entre la construction du métro de Lima ou de Barcelone, l’extension de la Purple Line de Los Angeles ou de la Westconnex au niveau de Sydney ? Tous ces grands travaux font l’objet de tous les soins et sont surveillés depuis l’espace par la filiale de CLS, TRE ALTAMIRA.

Capable de mesures d’une précision millimétrique des déformations induites sur les structures par les travaux, l’imagerie satellitaire et l’expertise de TRE ALTAMIRA constituent un véritable système d’alerte en complément des mesures classiques couramment utilisées.

 

MétroSurveillance des mouvements du sol

Avec l’extension du métro parisien, les mouvements du sol font ainsi l’objet d’une surveillance accrue. Ce projet de 200 km de métro et comportant 68 nouvelles stations devrait être mis en service d’ici 2030. Une étude historique a été délivrée pour connaitre les déplacements de surface sur la zone entre avril 1992 et mars 2015.

Depuis le début du projet, nous délivrons des analyses mensuelles et annuelles sur la base des images de la mission satellite TerraSAR-X (pilotée par la DLR, l’Agence Spatiale Allemande).

L’imagerie satellitaire que nous fournissons constitue un outil de surveillance de toutes les étapes des projets d’ingénierie civile – du design, des premiers plans à la construction et aux opérations de mise en service.

Article de la Société du Grand Paris

Découvrez nos solutions de surveillance autour des activités des énergies et des infrastructures

 

L’interférométrie satellitaire : une technologie clé dans la mesure des mouvements des infrastructures

barrageSurveiller les infrastructures de génie civil, qu’il s’agisse de métro, d’immeubles, de barrages, de ponts; la capacité de l’InSAR pour investiguer le temps passé en fait un outil de choix pour détecter et comprendre les mouvements de sol dans les zones urbaines affectées par des instabilités de terrain.

 

Imagerie satellitaire Tre AltamiraPlus globalement, ces résultats confirment l’utilité des satellites dans l’évaluation des risques. Les détecter, puis les cartographier, c’est mieux gérer le risque géologique et c’est aussi donner les moyens aux collectivités publiques ou privées d’informer, de sensibiliser, d’alerter.

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Crédits photos : GPE de la Société du Grand Paris. Carte des mouvements issue de l’analyses des résultats InSAR produits grâce aux données de la mission TerraSAR-X. Le vert indique qu’aucun mouvement de terrain n’a été détecté.

 

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