En 2015, la COP21, également connue sous le nom de la Conférence sur le Climat à Paris, envisagera d’obtenir, pour la première fois en plus de 20 ans de négociations aux Nations-Unies, un accord universel juridiquement contraignant sur le climat. Son but : maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2 °C.
Pour y arriver une seule solution : diminuer de façon drastique nos émissions de gaz à effets de serre. Une diminution mondiale de 40 % à 70 % d’ici 2050 sera indispensable. L’objectif final : s’approcher du niveau zéro d’ici la fin du siècle.
Là encore, les satellites, jouent et joueront un rôle clé, parfaitement légitime, et d’ores et déjà opérationnel. CLS utilise les satellites pour contrôler nos empreintes carbones sur les territoires maritimes. De quelle manière ? En optimisant toute activité humaine : routage maritime, soutien aux énergies vertes, protection de la mangrove, taxe incitative liée à la production de nos déchets.
Grâce au routage maritime développé par CLS, 40 tonnes de fuel peuvent être non utilisées sur une liaison maritime transpacifique.
LIMITER LES ÉMISSIONS DE CO2 EN MER
Le trafic maritime international est responsable de 2 % des émissions totales de gaz à effets de serre. Aujourd’hui chaque % d’économisé compte. À partir des données altimétriques temps réel, CLS détecte les tourbillons, déduit la vitesse des courants et détermine la trajectoire la plus favorable. Les navires, grâce à CLS, optimisent ainsi leur rendement. Les gestionnaires de flotte réalisent des économies de carburant.Toute chose allant dans le bon sens quand on sait que l’énergie la moins polluante ou la moins impactante pour le climat est celle non utilisée.