Le Vendée Globe est la seule course à la voile autour du monde, en solitaire, sans escale et sans assistance. Nommé l’Everest des mers, seuls 71 marins sur 138 ont réussi à couper la ligne d’arrivée depuis son existence. Ce chiffre exprime à lui seul l’extrême difficulté de cet événement planétaire où les marins sont confrontés au froid glacial, aux vagues démesurées et aux ciels pesants qui balayent le grand sud !
Excellente conf sur l’usage des satellites pr @VendeeGlobe @RolandJourdain @CNES @meteofrance @CLS_Group et merci pr le duplex @JeanLecam ! pic.twitter.com/g8Gvs7lIax
— Emilien GAUDIN (@EmilienGaudin) 6 janvier 2017
A conditions exceptionnelles, moyens exceptionnels, la direction de course a fait appel à CLS, Collecte Localisation Satellites, filiale du CNES, pour surveiller depuis l’espace ces aventuriers des temps modernes.
Une course localisée par satellites.
Tout au long de la course, les voiliers du Vendée Globe 2016 sont suivis par satellite grâce à CLS. Chaque bateau est équipé de balises de localisation et d’assistance « MAR YI ». Les balises émettent régulièrement un message qui permet de localiser le bateau. Grâce à cette localisation, le PC course peut établir le classement, fournir une cartographie au public mais également améliorer la sécurité des skippers en mer.
Chaque skipper du Vendée Globe est équipé de balises de localisation MAR-YI, développées par CLS.
Des icebergs menaçants détectés depuis l’espace.
CLS met au service du Vendée Globe son expertise en traitement de données satellitaires en imagerie radar et données altimétriques (mesure de la hauteur de mer) et modélisation de courants océaniques pour détecter la présence et prévoir la dérive des icebergs tout autour de l’Antarctique.
Sur les deux dernières éditions du Vendée Globe, plusieurs dizaines d’icebergs, pouvant menacer le parcours des skippers, ont été détectés par CLS.
Des centres des opérations spatiales sur le qui-vive H24, basé à Toulouse et à Brest
CLS met ses meilleures équipes au service de la course et de sa sécurité. Depuis Toulouse et son centre des opérations, elle recueille les données de près de 130 satellites. Parmi ces satellites, certains contribuent à localiser les skippers en temps réel, à détecter les icebergs menaçants, à recueillir les conditions de mer (température, courants, etc.), informations clés pour prévoir la dérive de ces dangereux objets flottants.
En savoir plus sur course.cls.fr et sur le communiqué de presse
http://www.vendeeglobe.org/fr/
Contact presse :
Amélie PROUST
aproust@groupcls.com
+33 (0) 6 62 80 45 92